Témoignage Lecture et vie

Vous trouverez ici l'audio. un témoignage d'une grande douceur et d'une grande tendresse d'une "petite voix" qui vous parle d'un amour à rencontrer. Il vous suffira de cliquer sur ici et un petit lien vous fera accéder à l'enregistrement.

Bonjour à tous.

 Comment vous dire combien je désire partager avec vous des passages de textes non seulement magnifiques mais aussi vécus lors de prières pour des frères et sœurs en souffrance.

 Ce premier texte est écrit dans le livre de Saint Azarias, ange gardien de Maria Valtorta. (Je vous indiquerai l’histoire de l’Evangile de Jésus dicté à Maria Valtorta, infirme à l’époque et dont l’œuvre immense a soulevé une polémique sur la véracité des écrits).

Il existe 10 volumes dont des cahiers et entre autres, ce livre de l’Ange gardien qui explique et enseigne à Maria le sens des Messes les plus importantes de l’Année liturgique.

Ce texte que j’ai choisi me touche beaucoup, pour avoir vécu cette grâce de compassion accordée par le Christ, lors de prières données à des frères et sœurs.

 

      Ce que je ressentais alors était comme si un amour me traversait pour toucher la personne pour qui je priais. Comment dire à quel point j’aime aimer celui ou celle qui est en face de moi, lorsqu’il est mal, ou a simplement besoin d’une présence. Les deux années où j’ai visité en gériâtrie des malades souvent incapables de parler et dans des états graves … j’ai mesuré combien la parole n’est pas indispensable …. MAIS … la présence !!! Quelle expérience d’un échange qui donne une joie partagée et où sans avoir rien fait que d’aimer en silence, on découvre et partage un fruit du ciel. Alors, voilà cet extrait (et vous en aurez d’autres) non seulement lu mais aussi vécu et c’est pourquoi je cherche surtout à vivre pour la charité, l’amour gratuit ;

 

Extrait du livre de Saint Azarias et passage d’un enseignement à Maria Valtorta pour la Messe du 17 Novembre 1946 : 23eme Dimanche après la Pentecôte.

… « Il n’est pas besoin de beaucoup de paroles, parfois d’aucune. Peut-être un seul regard suffira-t-il. Vos yeux regardent d’une façon qui n’est plus de cette terre. Vous regardez, mais ce n’est pas vous ; c’est le Christ qui regarde à travers vous. Vous voyez, mais vous ne voyez pas l’homme qui est en face de vous ; c’est son âme que vous voyez avec la vôtre. C’est parce que vous regardez avec votre âme, après vous être remplis les yeux de lumière céleste, que vous ne regardez pas à la façon des autres. Vous écoutez les histoires des hommes et bien souvent vous vous taisez. Mais tandis que vos lèvres sont muettes, votre âme aime. Et en aimant, elle caresse, réconforte l’âme exaspérée, malade, en colère, qui vous parle. Il arrive que vous disiez des paroles banales à des auditeurs quelconques, auxquels vous ne voulez pas dévoiler votre secret. Mais, de temps en temps, un bijou spirituel tombe de vos lèvres comme une note de chant qui de temps en temps s’échappe d’une pièce fermée et remplit la rue d’une douceur qui console le pauvre qui l’entend en passant ; c’est une étincelle échappée au Feu qui vous possède, et celui qui vous écoute l’accueille et le médite … son âme se réveille, réfléchit et parfois se décide.

      Rien des œuvres d’amour n’est jamais perdu. L’amour est en vous. Tout est donc actif … » et plus loin … « Qui évite de boire à une source fraîche qui jaillit d’une montagne , Elle paraît si humble, si dépourvue de pouvoir miraculeux. On ne suspecte pas, on ne s’en mêle pas. Alors on boit de sa fraîcheur. C’est ainsi qu’entre la grâce sans qu’on s’en rende compte, là où elle n’aurait pu pénétrer d’aucune façon. »

 

 

      Sur ce message, je vous dis à bientôt, pour vous offrir des passages de textes de pères du Désert … Des moments de Ciel

Bonjour à tous et chacun. J'ai lu des passages de textes si beaux que j'avais envie de vous les partager. Ily a ce texte